On emploie le terme de « commission » pour désigner une assemblée composée de personnes chargées d’une étude collective. Le but peut être d’effectuer une enquête ou connaître une action disciplinaire. Dans le langage juridique, le terme renvoie à la rémunération des intermédiaires du commerce. Ainsi, les « commissionnaires » sont des commerçants qui réalisent des opérations commerciales en leur nom propre ou sous un nom commercial.
Que fait-on lorsque l’on exerce ce beau métier ?
Plein de choses. D’abord, on contracte sous son nom pour le compte d’une autre personne, appelée « commettant ». Ce qui oblige à s’engager personnellement. Et puis, quand on est pro jusqu’au bout des ongles, on ne révèle pas l’identité des commettants. C’est comme ça.
La deuxième partie du nom. « En courtage ». Le courtage est elle aussi une activité d’intermédiaire de commerce. Cela permet de rapprocher vendeur et acheteur. Un courtier est donc une personne (physique ou morale) qui réalise une activité d’intermédiaire dans des contextes d’opérations de vente ou d’achat de biens, ou encore de prestations de service. Grâce à son savoir-faire et à ses compétences entretenues, le courtier permet aux deux parties de tomber d’accord sur les modalités de l’achat, de la vente. Le but final étant bien évidemment de parvenir à conclure le contrat.
Ça me fait une belle jambe
Je trouve aussi. L’avantage, c’est que c’est le commissionnaire en courtage qui se charge de tout. C’est lui qui cherche, dans le cadre d’une opération immobilière, des maisons répondant aux demandes des futurs acheteurs, Ce qui représente quand même un gain de temps. Bien sûr, cette gentille personne doit vivre pour travailler,aussi se rémunère-t-elle par le biais de sa commission. Celle-ci peut être forfaitaire ou proportionnelle à la valeur de l’opération conclue. Dans les deux cas, le mode de rémunération doit être décidé avant le début de la période de travail du commissionnaire.