Quand une activité draine autant d’adeptes et d’argent que les jeux de casinos en ligne, en Afrique ces dernières décennies, la malveillance rôde forcément alentour.
Il a donc fallu que les nouveaux sites d’opérateurs authentiques, comme PariDirect, s’entourent de précautions juridiques, conformément à la législation du Congo-Brazzaville. Le jeu en ligne africain attire beaucoup de convoitises, de par sa jeunesse et apparait vulnérable.
En Afrique, le phénomène exponentiel des « brouteurs »
Le phénomène des « brouteurs », qui cherchent à attirer votre empathie pour que vous leur confiiez de l’argent, est pléthorique en Afrique de l’Ouest.
Pour les escrocs, les réseaux sociaux permettent de créer de faux profils instantanément et de flairer la piste de victimes potentielles.
- En 2016, 46% des faux-emails parvenaient du Nigeria.
- En 2019, la cyberfraude de Côte d’Ivoire drainait 4, 9 milliards de francs CFA (7, 5 millions d’€uros)
Un jeu interminable du chat et de la souris
Dès que le public a connu l’informatique, les hackers ont cherché des failles.
Ce n’est qu’une fois qu’on les a démasqués, qu’ils deviennent, paradoxalement, indispensables au système. Celui-ci exploite leurs talents en les mettant au service du bien commun.
Chaque casino verrouille ses accès contre la cybercriminalité
La protection actuelle d’un bon casino est équivalente à celui d’une banque, notamment, grâce aux certificats SSL ou TLS de cryptage, qui détectent et bloquent les trafics malveillants d’information.
Vérifier la licence d’État, gage de fiabilité
Pour exercer au Congo-Brazzaville, un site comme PariDirect a demandé l’obtention d’une licence, qui est l’autorisation que lui accorde l’État d’exercer dans le périmètre et aux conditions qu’il a déclarées comme viable pour son établissement. Au-delà d’une autorisation, le casino ouvre ses circuits à un audit régulier, notamment de la fiabilité de son Générateur de Nombres Aléatoires, qui garantit qu’il respecte toujours les engagements pris vis-à-vis des clients et qu’il améliore sa sécurité.
Cette licence doit être visible au public dès la pénétration sur la page d’accueil ou/et la page : « Qui sommes-nous », de façon qu’on ne puisse être trompé ou la confondre avec un autre type d’information. Elle affiche les détails-clés qui l’identifient définitivement aux yeux du client ou visiteur, également contrôlable dans le cadre d’une contestation ou inspection.
Par ricochet, le tricheur s’en prend aux joueurs
Confronté à une sorte de « Fort-Knox » de la sécurité informatique, ce n’est donc pas là que le malfaiteur va frapper ! C’est, foncièrement, un prédateur social, puisqu’il va essayer de subtiliser des informations, des tours, des mises et des gains au reste des joueurs :
- Il peut les empêcher de jouer ou de gagner ou de ramasser leurs gains
- Il peut fausser l’équité dans les tours de jeu
- Multiplier de façon irrégulière ses propres chances
Le casino va devoir faire la chasse aux faux profils, et à toute forme de biais dans le jeu. Sans quoi, il risque de perdre de plus en plus de clients outrageusement « malchanceux », par ce que quelqu’un fausse les données.
Les escroqueries les plus courantes
- La Fraude consistant à démultiplier les comptes (ou multicomptes) : l’escroc génère des centaines de faux comptes munis de fausses identités et capitalise ses propres chances en réduisant d’autant plus celles des autres.
- Les nouveaux faux comptes bénéficient d’un bonus de bienvenue ou de toutes les autres offres attractives. La plateforme devient débitrice dans son taux de traitement régulier de ces avantages qu’elle offre normalement.
- Le tricheur peut choisir de faire perdre une légion de faux comptes de joueurs fictifs (des « gnomes ») pour privilégier les chances d’un seul de gagner.
- Au Poker, il est possible de jouer la saturation : plusieurs comptes s’assoient à la table de jeu et font gagner un joueur désigné.
- On peut épuiser les fonds de cartes de crédit volées sur des sites de jeux en ligne. En déposant simplement les fonds, on peut être immédiatement crédité.
- La rétro facturation consiste alors à réclamer l’argent à la banque, en prétextant s’être fait voler sa carte. Les frais seront facturés au fournisseur du jeu.
- Par ailleurs, le blanchiment d’argent reste un danger constant et touche autant les casinos en ligne que les casinos terrestres. Ceux-ci s’en défendent en n’acceptant que des sommes minimes et réglementées d’argent en espèces.
Bâtir des groupes d’intérêt et de vigilance
Le casino va former son personnel, les croupiers en direct, le service clientèle, à exercer une vigilance à tout mouvement ou inscription suspects. Il peut aussi mobiliser les clients fidèles pour qu’ils ne se laissent pas gruger par des phénomènes de faux comptes, quand ils sont détectables. On peut répertorier des indices, formuler des alertes, faire peur et mettre en éveil.