Qui peut encore croire que l’on devient riche en épargnant toute son épargne sur un livret A et une assurance-vie ? Aujourd’hui, la plupart des placements à long terme classiques ont vu leur taux d’intérêt descendre en flèche. Même le livret A, l’épargne la plus populaire, ne suit plus le cours de l’inflation. Cela veut dire qu’en plus de ne pas gagner d’argent, vous en perdez…
Pour espérer sérieusement faire des plus-values, il faut aller en dehors des sentiers battus. Dans cet article, nous vous donnons trois moyens différents : l’immobilier à l’étranger, les monnaies virtuelles et les prises de participation.
Investir dans l’immobilier à l’étranger : pourquoi ?
En France, vous avez encore un certain nombre de rentiers qui vivent grâce à des dizaines d’appartements qu’ils louent sur le territoire. Malheureusement pour eux, la rentabilité diminue.
Il y a toujours une forte de demande de logements, mais les loyers sont souvent plafonnés et la taxation des propriétaires augmente de plus en plus.
Pis, la loi française n’est pas équilibrée et bien souvent, le locataire finit avec des droits déséquilibrés. Si le respect de la trêve hivernale se comprend (pas d’expulsion en hiver), les difficultés pour se débarrasser d’un locataire qui ne paie pas ou d’un squatteur est une aberration.
En vous exportant, vous n’aurez plus ses contraintes. Mieux, vous bénéficiez de croissances supérieures à la France. Même aux Etats-Unis, vous pouvez bénéficier d’un cadre plus avantageux. Selon Orlando Immobilier, investir en Floride peut rapporter 5 à 6% de rentabilité locative.
Les monnaies virtuelles : des montagnes russes qui paient !
Vous ne pouvez pas vivre en 2018 sans avoir entendu parler du Bitcoin. Les journaux aiment présenter cette monnaie virtuelle sans forcément comprendre réellement comme elle fonctionne ou pourquoi elle fluctue autant.
Si beaucoup de critiques peuvent être émises contre les monnaies virtuelles, elles n’en restent pas moins l’un des rares secteurs où l’on peut voir son investissement se multiplier par 20 en quelques mois.
Vous devez impérativement connaître le sujet et ne pas aller toujours dans le sens du vent. Ce sont des conseils similaires à l’investissement en Bourse. N’hésitez pas à regarder les petites monnaies qui montent. La mise de départ est minime, et donc les risques également, tandis que les récompenses peuvent potentiellement être énormes.
La prise de participation dans les start-up
Cet investissement nécessite une mise de départ élevée et de vraies connaissances en business. Toutefois, quand vous êtes expert dans le domaine, les retombées sont considérables. Des personnes comme Tim Ferriss ont gagné des millions en aidant les bons entrepreneurs.
La France n’est pas en reste et des groupes de « Business Angels » fleurissent un peu partout, alors que les médias se concentrent sur des icônes comme Xavier Niel et son fonds d’investissement Kima.
Leur travail consiste à écouter des entrepreneurs et à étudier leur projet. S’ils voient dans le projet de belles perspectives, ils investissent financièrement en prenant des parts dedans. Nous vous laissons imaginer les fortunes faites par ceux qui ont été les premiers apporteurs de capitaux d’entreprises comme Facebook, Uber, AirBnb ou même Duolingo, Linkedin, etc.
Certains investisseurs aiment aussi avoir un rôle de conseil. Ils profitent de leur expérience en marketing, en termes de finances pour aiguiller les jeunes entrepreneurs et leur permettre d’avoir un avis extérieur de valeur.
Chacun de ces investissements comportent des parts de risque différents, mais aussi des retours sur investissements différents. Toute personne souhaitant gagner réellement de l’argent peut y trouver des opportunités adaptées à sa situation.