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Deuil

La disparition d’un proche est un des moments de la vie les plus éprouvants. C’est un repère, des échanges, un univers entier, unique et irremplaçable qui nous quitte à jamais, laissant un vide que l’on pense ne jamais pouvoir combler. L’on entre alors dans la période « d’après », une période floue, une période d’entre-deux, grise, le deuil, où l’on se débat pour refaire surface et retrouver les saveurs de la vie.

Le deuil, une succession d’états d’être douloureux

La période de deuil est plus ou moins longue selon son tempérament, sa détermination à s’en sortir et la nature de la relation entretenue avec la personne défunte, mais elle consiste souvent en une série de phases communes à tous.

Le choc

C’est d’abord un choc que l’on éprouve à l’annonce de la mort. C’est là une réalité brutale que l’on n’arrive pas à appréhender.

Le déni

Puis vient le déni du décès. La disparition est si douloureuse que l’on refuse de l’accepter et l’on se voit agir comme si la personne défunte est toujours présente.

La colère

Le déni cède ensuite place à la colère. L’on prend pleinement conscience que la disparition a bel et bien eu lieu mais on s’insurge contre cette réalité. C’est une violence incontrôlée de sentiments dirigés autant vers la personne disparue que vers soi et son entourage.

La déprime

Puis l’on cesse pendant un temps de se débattre et une profonde tristesse s’installe laissant à la place à rien d’autre qu’un profond désespoir où la vie ne semble plus valoir la peine d’être vécue.

La résignation

Après un certain temps, on se résigne à vivre avec l’absence de la personne disparue. L’on commence alors à refaire surface en laissant derrière soi la tendance à se morfondre et à se refermer sur soi. A cette étape de la résignation, on se met à retrouver de l’intérêt pour les choses de l’existence et des projets commencent à nouveau à s’ébaucher.

L’acceptation

On en arrive alors à accepter plus résolument la disparition. Les bons souvenirs affluent et l’on se sent prêt pour mener, à nouveau, une véritable existence sans traîner le poids de sa peine.

La reconstruction

Vient ainsi une période de reconstruction personnelle où le quotidien reprend toute sa saveur. Le passé derrière soi laisse place à de nouveaux départs et de nouveaux challenges.

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Durant cette période de deuil, véritable chemin de croix qui peut durer plusieurs années, nous nous voyons mener une existence tournée vers la disparition de l’être aimé décédé. L’on se trouve animé d’une multitude de sentiments difficilement gérables. Le sentiment qui prédomine sûrement est celui qui s’accompagne du besoin de rendre hommage à la personne défunte.

deuil commémoratifs

Comment alléger son deuil ?

La peine du deuil est souvent si grande et l’absence du défunt si insupportable que l’on éprouve le besoin de continuer à faire exister d’une manière ou d’une autre l’être aimé disparu.

Faire revivre la personne à travers ses objets

La mise en valeur des objets de la personne défunte est une façon de continuer à faire vivre celui ou celle qui est parti (e). L’on fait encadrer une montre, une raquette de tennis, un chapeau, une pochette de disque ; on fait mettre sous verre sa clarinette, son foulard préféré ; on restaure le vieux fauteuil, on transforme sa pièce préférée en une pièce dédiée à son souvenir… Les façons de faire revivre l’être aimé à partir d’objets symboliques de son existence sont infinies.

Photos et portraits pour raviver le souvenir

On peut se lancer aussi, en guise d’hommage, dans la compilation d’albums photos mettant en valeur chacune des étapes de la vie de la personne. Faire peindre un portrait qui sera la pièce maîtresse du panneau le plus visible de la maison peut aussi être un hommage satisfaisant pour qui porte en soi le fervent désir de mettre en valeur la personne décédée.

Le recueillement et l’entretien du lieu de sépulture

L’embellissement et le fleurissement réguliers du lieu de sépulture, qu’il s’agisse d’une tombe ou d’une plaque de columbarium, est aussi un geste essentiel en hommage à la personne disparue. La dernière demeure est symboliquement le témoin de la vie qui s’est éteinte et il importe de l’entretenir autant que l’on peut le faire.

L’éloignement du lieu de sépulture rend parfois l’hommage au cimetière impossible à réaliser et nous laisse avec le sentiment de ne pas se montrer à la hauteur du lien qui nous unissait à la personne défunte, voire même, celui de trahir la mémoire de celui ou celle qui repose en ce lieu.

diamants commémoratifs

Besoin d’une autre façon de rendre hommage

Nos modes de vie modernes, contrairement à ceux des époques passées, nous amènent bien souvent à voyager fréquemment et à parfois vivre bien loin de là où repose l’être aimé. Une sépulture fixe dans un lieu donné n’est, de ce fait, plus à même de satisfaire notre besoin de recueillement.

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Le diamant commémoratif : la réponse parfaite à nos attentes en matière d’hommage

Depuis plusieurs décennies, peut-être en conformité avec la tendance moderne à la dématérialisation, la crémation tend de plus en plus à remplacer l’inhumation.

Durant ces mêmes décennies, depuis les années 1950, les percées technologiques ont permis d’aboutir à l’incroyable prouesse de faire naître, à partir des cendres de crémation d’une personne, un diamant véritable, comparable à ceux extraits du manteau terrestre.

Le diamant de crémation, aussi appelé diamant de commémoration ou diamant de laboratoire, bien qu’à peine imaginable, est une création bien réelle.

Les cendres de crémation soumises durant plusieurs mois à de longs processus complexes et hautement élaborés se trouvent transformées en diamants de carbone pur à 99,99 %.

Le principe qui a abouti à cet exploit a été celui de soumettre, de façon accélérée, le carbone des cendres humaines aux mouvements, pressions et températures extrêmes similaires à celles qui ont transformé, au cours de millénaires, le carbone terrestre en diamants naturels.

La technologie rencontre, là encore, les besoins humains, et répond, par ses capacités à élaborer des diamants de crémation, à la nécessité ressentie lors d’un deuil, d’une représentation de l’identité même de l’être cher disparu. Cette représentation devant, de plus, être durable, mobile, personnelle, hautement esthétique et porter les symboles de l’amour éternel, elle ne trouve réponse à ses attentes que dans le diamant de commémoration.

Plusieurs laboratoires, de par le monde, maîtrisent, de nos jours, la technologie de fabrication du diamant commémoratif.

La maison Lonité

La maison suisse Lonité, pionnière et leader dans le domaine depuis les années 1950, possède, à ce jour, plusieurs laboratoires qui, qu’ils soient en Suisse, aux Etats-Unis ou en Grande-Bretagne, fournissent invariablement des diamants d’une très grande pureté.

En plus d’une maîtrise exemplaire de la fabrication des diamants de crémation, la maison Lonité procède aussi à la taille des diamants de laboratoire ainsi qu’au sertissage en bijoux des diamants une fois taillés.

La taille de diamants de crémation requiert un savoir-faire peu répandu qui n’est pas forcément acquis par tous les laboratoires de diamants de crémation. A cette spécialité et celle du sertissage, s’ajoute, chez Lonité, celle de l’accueil d’une équipe à votre écoute, résolument déterminée à vous accompagner dans votre deuil et de vous délivrer un diamant d’hommage entièrement fidèle à vos attentes.

Moderne et en même temps intemporel, le diamant funéraire possède toutes les qualités attendues par qui veut rendre un hommage digne et éternel à un être cher qui s’en est allé.

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